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Maubec (Vaucluse)

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Maubec
Maubec (Vaucluse)
Beffroi de Maubec.
Blason de Maubec
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Apt
Intercommunalité Communauté d'agglomération Luberon Monts de Vaucluse
Maire
Mandat
Frédéric Massip
2020-2026
Code postal 84660
Code commune 84071
Démographie
Gentilé Maubecquois, Maubecquoises
Population
municipale
1 914 hab. (2021 en évolution de +0,84 % par rapport à 2015)
Densité 210 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 50′ 38″ nord, 5° 08′ 22″ est
Altitude 105 m
Min. 97 m
Max. 663 m
Superficie 9,13 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Avignon
(banlieue)
Aire d'attraction Cavaillon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cheval-Blanc
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Maubec
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Maubec
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Maubec
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Maubec
Liens
Site web http://www.mairiemaubec-luberon.fr

Maubec est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont les Maubecquois.

Géographie

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Maubec est un bourg du parc naturel régional du Luberon, situé à 8 kilomètres de Cavaillon et à environ 30 kilomètres d'Avignon.

Communes limitrophes de Maubec
Cabrières-d'Avignon
Robion Maubec Oppède
Cheval-Blanc

La route nationale 100 passe en bordure nord.

Les départementales 2, 3, 178 traversent le territoire de la commune et les départementales 29 et 144 passent par le village.

La commune dispose également d'une ancienne voie de chemin de fer et d'une gare maintenant désaffectée.

Relief et géologie

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Au sud de la commune s'élèvent les contreforts du Luberon jusqu'au sommet des Fourcats.

La plaine alluviale du Calavon s'étend du centre jusqu'au nord de la commune.

Hydrographie

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Le Calavon traverse la commune d'est en ouest.

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 2,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cabrières d'Avignon », sur la commune de Cabrières-d'Avignon à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 696,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 43,2 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −15,2 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Préhistoire

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Le site fut utilisé dès le néolithique comme l'atteste la sépulture trouvée à la grotte Maillet avec son mobiler funéraire.

Maubec vue depuis le rocher de Baude.

Ce fief des comtes de Toulouse arriva, par mariage, à Alphonse de Poitiers, le frère de Louis IX, avec l’ensemble du marquisat de Provence dont son épouse était l’héritière. En 1253, il fit recenser ses droits et bans dans le célèbre Livre Rouge conservé à la Bibliothèque Inguimbertine de Carpentras. Il cite pour la première fois le village Castrum de Malbec[9].

Le premier seigneur connu est Bernard de Claret qui prend possession du fief en 1269. Cette seigneurie, tout en restant aux Claret, devient terre pontificale comme tout le marquisat en 1274. Un de leurs héritiers, Pierre cède une partie de « Mabobecco » aux chanoines de Saint-Didier d’Avignon, en 1385, alors qu’Urbain V était retourné à Rome. En même temps, Guillaume Raynardi, baile de Barcelonnette (1361), était noble et coseigneur de Maubec.

Le XIVe siècle fut une longue suite de désastres pour le village qui subit trois épidémies de peste, la guerre de Cent Ans et ses séquelles (Routiers), la sécheresse et deux famines.

Renaissance

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Possession des Taulignan au XVe siècle, une partie du fief est vendue par Bertrand à Gaucher de Brancas. Son fils, Gaucher II rachète, en 1529, la partie que les chanoines avaient cédée à la Révérende Chambre Apostolique d’Avignon.

Pendant les guerres de Religion, en 1562, le baron des Adrets, à la tête de ses 4 000 religionnaires, brûle le « mauvais château ». Son propriétaire Aymon de Brancas, baron d’Oyze, avait eu la bonne idée de se réfugier à Oppède. Le village fut pris et incendié ; les habitants désertèrent les lieux[10].

Période moderne

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Le château sera reconstruit par la famille puisque c'est là, en 1657, que décède le duc et pair de France Georges de Brancas-Villars. Il avait convolé avec Julienne d’Estrées, la sœur de Gabrielle, la maîtresse d'Henri IV. Leur fils Charles servit, dit-on, de modèle à La Bruyère pour le portrait du « distrait ».

Période contemporaine

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Maubec-le-Vieux, qui fut le fief des Brancas jusqu'à la Révolution, a été rasé en 1964 pour laisser place à ce que certains ont appelé « un hôtel particulier de style grand siècle ». Au hameau de Coustellet, tous les dimanches, de mai à novembre, se tient un marché paysan où toutes les célébrités du Luberon[11] se donnent rendez-vous.

Héraldique

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Blason de Maubec (1983)

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

D'azur au beffroi accompagné de quatre pattes de lion[12] mouvant des flancs de l'écu, deux de chaque côté, l'une sur l'autre, le tout d'or.

Politique et administration

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Maubec fait partie de l'aire urbaine de Cavaillon.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 1995 Alain Coudouneau    
juin 1995 mars 2014 René Valentino UMP  
mars 2014 En cours Frédéric Massip DVD  
Les données manquantes sont à compléter.
L'imposition des ménages et des entreprises à Maubec en 2009[13]
Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 6,90 % 0,00 % 7,55 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 17,71 % 0,00 % 10,20 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 33,37 % 0,00 % 28,96 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 22,41 % 13,00 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

Au , Maubec est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon[Note 2], une agglomération inter-régionale regroupant 59 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cavaillon, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[16]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (42,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,6 %), forêts (26,9 %), zones urbanisées (15,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2021, la commune comptait 1 914 habitants[Note 5], en évolution de +0,84 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
512543571577583607612626621
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
593623611573542535500490462
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
423417404382428479469468525
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
5705686979731 1991 5811 7631 7911 867
2017 2021 - - - - - - -
1 9301 914-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune bénéficie de tous commerces sur site avec, entre autres, une importante zone commerciale en extension sur Coustellet.

Toujours sur la commune, deux coopératives vinicoles et deux coopératives agricoles. Les bâtiments importants de la distillerie de Coustellet peuvent se voir des kilomètres à la ronde.

Parc d’activité de la ZAC du Tourail (26 lots).

Carrière de graviers et sables en bordure de Calavon.

Comme la plupart des communes du Vaucluse, mais surtout du secteur du parc du Luberon, une partie des revenus de la commune est obtenue grâce au tourisme. Plusieurs gîtes, meublés de tourisme, chambres d'hôtes et camping municipal (2 étoiles, 75 emplacements).

Agriculture

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Sur la commune sont principalement cultivés les fruitiers (cerisiers) et les asperges. Elle produit des vins AOC côtes-du-luberon. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays d'Aigues[24].

Équipements ou Services

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Salle des Fêtes.

Enseignement

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La commune possède une école primaire publique[25], puis les élèves vont au collège Vallée-du-Calavon[26], puis vers les lycée Ismael-Dauphin (enseignement général) et lycée Alexandre-Dumas (enseignements techniques) tous deux à Cavaillon.

L'équipement sportif le plus visible est le terrain de football et de rugby situé au pied du vieux village.

Terrain de pétanque.

Plusieurs associations sportives dont un club de rugby à XV.

La commune dispose de plusieurs médecins spécialistes ou généralistes, ainsi que, sur le secteur de Coustellet, de deux cabinets d'analyse médicale.

Catholique (église et cimetière).

Environnement

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Déchèterie sur Coustellet et conteneurs pour le tri sélectif.

Lieux et monuments

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Le campanile devant le vieux village.

Au sommet du bourg, maisons restaurées du vieux village avec niches, passages sous voûtes, ruelles calladées, etc.

  • Château restauré.
  • Église paroissiale Saint-Maurice datant de 1753, construction d'aspect baroque : contreforts, clocher latéral surmonté d'une cloche, abside à trois pans, trois chapelles, porte à archivolte surmontée d'un oculus[27].
  • Beffroi de l'Horloge du XVIIIe, surmonté d'une statue de la Vierge.
  • Pont sur le Calavon, reconstruit en 1886.
  • Croix de mission sur l'esplanade.
  • Oratoire près de la ferme Saint-Baudile.
  • Ancien relais de diligences (privé, séparé en deux) et chapelle (privée) en bordure de la RN 100 à Coustellet.
  • Plusieurs puits et norias.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Avignon comprend une ville-centre et 58 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Maubec et Cabrières-d'Avignon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cabrières d'Avignon », sur la commune de Cabrières-d'Avignon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Cabrières d'Avignon », sur la commune de Cabrières-d'Avignon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. Charles Rostaing, grand spécialiste de la toponymie provençale, le fait dériver de Malbecco, composé de «malum» (mauvais) et de «beccus» (nom celto-ligure appliqué à une fortification).
  10. L'abandon du village de Maubec-le-Vieux se fit peu à peu et, à la fin du XIXe siècle, les derniers habitants s'installèrent dans la plaine à quelque distance de l'ancien village, totalement abandonné.
  11. Cf. Peter Mayle, Une année en Provence.
  12. Le lion est celui de la famille des Brancas.
  13. « Impôts locaux à Maubec », taxes.com.
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 d'Avignon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Maubec ».
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cavaillon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
  25. Enseignement public primaire en Vaucluse
  26. Carte scolaire du Vaucluse
  27. Émile Bonnel, L'église de Maubec , p. 85-94, dans Provence historique, tome 5, fascicule 22, 1955 (lire en ligne)

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Bibliographie

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  • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
  • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986.

Articles connexes

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Liens externes

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